La grenade du stress a éclaté. Et son cortège d'actions_vitrines : pourquoi seules les entreprises de + de 1000 salariés devraient-elles pointer leur curseur sur lui; et toutes les autres alors? Celles où travaillent la majorité de la population active? Bref. C'est déjà un pas. Mais restons bien plantés et avec les idées claires car "pour combattre ces maux, la bataille fait rage. D'un côté, les adeptes de la gestion individuelle du stress veulent développer la capacité de chaque salarié à faire face. Pour eux, le mal-être émane de situations individuelles. De l'autre, les partisans des transformations organisationnelles estiment que l'entreprise doit réduire les contraintes pour ses collaborateurs. A leurs yeux, le risque est collectif et prend sa source dans l'organisation du travail." Faut-il trancher nécessairement? Oui et non. Il me semble nécessaire d'attaquer le problème à sa source via une approche collective versus revoir l'organisation et sa stratégie et aussi; versus gestion individualisée car chaque salarié-e est impacté-e plus ou moins directement et fortement car toujours subjectivement par ce paradigme extérieur bien concret auquel il se trouve confronté : son environnement de travail au sens large. Tout est donc encore une fois lié et relié. Ne gaspillons pas notre énergie dans ces querelles d'approche aux enjeux dépassant sans doute aussi le "purement théorique" et tendons vers un dispositif de diagnostic certes affiné mais aussi transversal pour apporter un mode résolutoire complet prenant l'ensemble des paramètres en compte. Je sens que vous êtes d'accord. Continuons, voulez vous?! Oui!
La grenade du stress a éclaté. Et son cortège d'actions_vitrines : pourquoi seules les entreprises de + de 1000 salariés devraient-elles pointer leur curseur sur lui; et toutes les autres alors? Celles où travaillent la majorité de la population active? Bref. C'est déjà un pas. Mais restons bien plantés et avec les idées claires car "pour combattre ces maux, la bataille fait rage. D'un côté, les adeptes de la gestion individuelle du stress veulent développer la capacité de chaque salarié à faire face. Pour eux, le mal-être émane de situations individuelles. De l'autre, les partisans des transformations organisationnelles estiment que l'entreprise doit réduire les contraintes pour ses collaborateurs. A leurs yeux, le risque est collectif et prend sa source dans l'organisation du travail." Faut-il trancher nécessairement? Oui et non. Il me semble nécessaire d'attaquer le problème à sa source via une approche collective versus revoir l'organisation et sa stratégie et aussi; versus gestion individualisée car chaque salarié-e est impacté-e plus ou moins directement et fortement car toujours subjectivement par ce paradigme extérieur bien concret auquel il se trouve confronté : son environnement de travail au sens large. Tout est donc encore une fois lié et relié. Ne gaspillons pas notre énergie dans ces querelles d'approche aux enjeux dépassant sans doute aussi le "purement théorique" et tendons vers un dispositif de diagnostic certes affiné mais aussi transversal pour apporter un mode résolutoire complet prenant l'ensemble des paramètres en compte. Je sens que vous êtes d'accord. Continuons, voulez vous?! Oui!