La violence d'un certain monde




La violence d'un certain monde


Un policier a de fait gravement abusé de sa fonction avec moi pour des raisons strictement personnelles et idéologiques. Il a de fait violé le serment républicain. Nous ne sommes pas en dictature. Nous sommes en démocratie. 

Nous avons toutes et tous le droit d'avoir nos propres orientations politiques. 

L’opinion publique y tient, vous aussi, moi aussi, tout le monde y tient.


Une question que tout le monde se pose : est-ce un crime de ne pas être d'extrême-droite en France ? Pour ce policier, oui.


Ma vie est depuis en danger d'où cet article. Cet ex compagnon, policier parisien, m'a en effet menacée de mort à l'arme blanche en Août 2020 si je persistais à dire la vérité à son sujet. Il avait vainement tenté à cette époque de revenir dans ma vie en me faisant croire qu'il avait des sentiments amoureux pour moi, ce qui était totalement faux, il vivait alors chez sa maîtresse devenue sa compagne, Virginie, dans le 13ème arrdt de Paris et il "rayonnait".


J'étais calme ce soir là, il était environ 18h ou 20h, il rentrait de son travail, son commissariat étant à 3 minutes à pied de chez moi, et il ne cessait de m'accuser sur tout et n'importe quoi.


Il cherchait par tous les moyens à me discréditer et à me forcer à réagir violemment en me provoquant de mille façons afin de se couvrir lui-même des sanctions et des soupçons importants que sa hiérarchie avait alors déjà sur lui.


Aucune dispute n'avait pourtant éclaté entre lui et moi car j'avais enfin bien compris combien face à toutes ses basses manoeuvres, il était crucial que je reste très calme. 


Furieux de constater que je ne tombais plus dans aucune de ses manipulations, il avait alors pris, se tenant debout, et très soudainement, un de mes couteaux de cuisine à manche noir, se trouvant dans un bocal à couvert en inox posé à côté de l'évier de ma cuisine, dans une de ses mains, et il l'avait tendu à bout de bras la lame de métal dirigée en l'air et en orientant son buste, son bras et sa main sur le côté et plus bas vers moi qui étais alors tranquillement assise dans mon fauteuil rouge, il avait alors joint de fait sa menace de mort à mon encontre clairement verbalisée à haute voix sur un ton dur, la mâchoire serrée, et avec un regard très hostile au mime du geste.

Ses propos furent très précis : "Anne, je te préviens, si tu continues (à me dénoncer), ça se terminera au couteau entre toi et moi."

L'attitude de cet homme constitue ici même à elle toute seule un aveu complet de sa culpabilité.

Je n'avais eu délibérément aucune réaction. Aucune. 

Je savais que cet homme était prêt à tout et n'importe quoi pour sauver sa réputation qui chancelait car j'avais eu le courage de dénoncer qui il était en vérité à sa hiérarchie et à ses collègues au travers de mes multiples mails dits de "main courante". 

Rien n'est pire pour un pervers (narcissique) que d'être démasqué aux yeux de tous.


Je rajoute du coup dans cet article cinq éléments majeurs :


1. un mail envoyé au principal concerné prénommé Steve ainsi qu'à sa hiérarchie, qui contient des ajouts de faits nombreux ajoutés après coup et que cet homme n'avait alors pas reçus par mail mais ce sont tous des faits et des réalités qu'il avait dissimulés à tout le monde, facilement vérifiables, et qu'il connaissait tous fort bien,


2. deux liens iCloud publics sécurisés, totalement anonymes et accessibles à tout le monde pour qui les consultent et qui rassemblent de très très nombreux nouveaux éléments sur cette sordide histoire


3. un long mail envoyé à l'Elysée

4. un très long mail envoyé à de hautes autorités très compétentes 

5. des élèments divers à connaître


Il s'agit encore ici de mon article de novembre 2020, actualisé le 8 Mars 2021, réactualisé le 15 Avril 2021, réactualisé de nouveau le 23 Avril 2021, dépublié ensuite pour apaiser les esprits, puis republié ce jour le 25 Septembre 2021 car les attaques visant toute ma bureautique deviennent sans cesse plus virulentes : je n'ai pas d'autre choix que de dire la réalité au travers de cet article afin que les différents pouvoirs ert l'opinion publique sachent ce qui s'est passé et ce qui se passe deux années après que j'ai rompu avec ce policier.


Vous trouverez notamment 2 liens iCloud publics sur lesquels cliquer : ils sont hautement sécurisés, totalement anonymes pour qui les consultent (point important), et surtout considérablement enrichis d'innombrables nouveaux éléments à charge contre cet homme.


J'avais déjà observé que le lien principal iCloud public initialement publié avait été intercepté et était tronqué d'éléments déterminants qui n'apparaissaient pas, l'espionnage continue.


Etant encore victime à ce jour de cybercriminalité, et convaincue que réparation doit enfin être faite en ma faveur, j'ai enrichi mes 2 liens iCloud publics sécurisés et totalement anonymes pour qui les consultent de très nombreuses nouvelles pièces à convictions et preuves contre l'homme qui a voulu délibérément me détruire.


J'ai créé 2 liens iCloud publics renommés Preuves Justice -1 et Preuves Justice -2 afin que vous puissiez avoir l'intégralité des éléments.


Cet article, réactualisé et republié le 25 Septembre 2021, ne ressemble à aucun des autres que je publie ici depuis 2009.


J'ai conscience qu'il est intime comme j'ai conscience qu'il est de mon devoir de sociologue et en tant qu'agent de changement et d'influence éthiques d'alerter et les pouvoirs en place, et l'opinion publique. Il n'y a dans ma démarche aucune exhibition et j'aurais largement préféré ne pas être acculée à publier publiquement des données aussi intimes.


Mon commissariat de quartier ne m'en a pas laissé le choix.


La police nationale peut parfois se révéler violente et raciste et peut alors constituer un danger réel tant pour la foule que pour la stabilité de notre démocratie.


J'en profite d'ailleurs pour saluer non pas que les 45% comme dit précédemment mais les 70% de policières et de policiers qui en France font, à l'inverse, leur travail avec un grand souci d'éthique, une volonté démocrate admirable et beaucoup de compétences professionnelles : en un sens, en brisant ici l'omerta d'une partie de la police, je souhaite les remercier très sincèrement, leur rendre hommage, et encourager les pouvoirs à ce qu'ils deviennent largement majoritaires à être ainsi dans les forces de l'ordre.


Il va sans dire qu'avec un tel article, j'invite vivement l'Etat, toutes les forces de l'ordre et les services de renseignement à me protéger très activement, et ce, a vitam eternam.


Je demande également officiellement à l'IGPN de me contacter avec toutes les précautions d'usage en vigueur; mon ex et ses complices lisant également cet article.


Enfin, je remercie toutes celles et tous ceux qui m'ont donné le courage de témoigner afin que notre pays reste une démocratie digne de ce nom, citoyenne, responsable, fraternelle et éthique, et ce, dès aujourd'hui, puis en 2022, et ensuite indéfiniment lors de chaque élection.



Liberté, égalité, fraternité est notre devise laïque enviée partout dans le monde entier.


Ne la bradons plus jamais.



Je rajoute donc dans cet article cinq éléments majeurs :

1. un mail envoyé au principal concerné prénommé Steve ainsi qu'à sa hiérarchie, qui contient des ajouts de faits nombreux ajoutés après coup et que cet homme n'avait alors pas reçu par mail mais des faits et des réalités qu'il avait dissimulés à tout le monde et qu'il connaissait tous fort bien,

2. deux liens iCloud publics sécurisés, totalement anonymes et accessibles pour qui les consultent et qui rassemblent de très nombreux nouveaux éléments sur cette sordide histoire

3. un long mail envoyé à l'Elysée

4. un très long mail envoyé à de hautes autorités compétentes


5. des élèments divers à connaître


Pourquoi je le fais ?


Car mon commissariat de quartier m'avait promis l'assistance d'une psychologue dans un de leurs autres commissariats parisiens ainsi que l'intervention rapide de la BEFTI sans passer par le Procureur de la République car ayant déjà déposé plainte en tant que victime d'actes de cybercriminalité.


Aucune de ces promesses n'a été tenue. Mes 50 mails de main courante n'ont débouché que sur la communication d'une association d'aide aux femmes victimes de violences conjugales. Rien ne m'a été dit de plus. Aucune aide ne m'a été apportée. Aucune réponse à mes mails. Jamais.


Pire, on m'a fait comprendre que j'étais épuisante. Sic. Une femme violentée quotidiennement pendant 19 mois par son ex compagnon et appelant au secours est dite épuisante. Passons, il paraît lit-on partout que les violences conjugales ne sont guère prises au sérieux dans les commissariats parisiens. Je n'en reviens toujours pas. Ne laissons plus jamais passer ces usages policiers.


Mais bonne nouvelle, l'Elysée m'avait répondu par courrier suite à mon mail à Brigitte Macron et mon dossier était enfin pris en charge par une de leurs directions : un sincère merci à vous toutes et tous.


Je précise que ces cinq ajouts s'inscrivent dans une logique de légitime défense - on m'a fait comprendre que j'étais en danger et que mon ex et ses complices me haïssaient - et même si ces éléments sont intimes et que les exposer ici me gênent beaucoup, il n'y a ici aucune volonté de discrimination ou de diffamation mais volonté d'assurer ma légitime défense et volonté d'informer : il est également de mon devoir de sociologue éthique, de femme violentée et de citoyenne exemplaire d'alerter, et tous les pouvoirs en place, et l'opinion publique.


De plus, mon témoignage permettra peut-être à d'autres femmes d'oser parler bien davantage et permettra peut-être même de déboucher sur des réformes souhaitées par une grande majorité de l'opinion publique afin que les forces de l'ordre les plus exemplaires deviennent progressivement majoritaires, je leur rends ici hommage de nouveau à toutes et tous.


Premier ajout : le mail à cet ex compagnon


De : Anne Verron
A : Steve., + autres destinataires cachés dans cet article par souci de discrétion
mar. 27 oct.2020 -18:08

"Bonjour Steve,

Comme déjà écrit et reçu par toi le 7 décembre 2019, je t’accorde un second et dernier délai de 1 mois pour me rembourser les 3500€ que j’ai viré sur ton compte afin de te permettre d’acquérir ton logement à Meaux.

Ma situation financière est en effet délicate depuis, et cette somme importante que je t’avais donné par amour, tu ne la méritais pas puisque tu as toujours bcp abusé de moi pendant quasi deux ans comme tu l’as toi-même reconnu par écrit : par sms. Si besoin relire mes mails intitulés « mail 1 » et « mail 2 ».

Je t’ai donné de plus bcp d’argent en 2 ans en t’hébergeant à titre gracieux et provisoire chez moi de juin 2018 à décembre 2018 puis de juillet 2019 à novembre 2019, soit une année sans jamais que tu aies un loyer à payer estimé à 500€ par mois, soit 6000€.

Tu n’as jamais payé non plus les charges fixes chez moi soit 4000€ en tout à minima, ni les nombreux hébergements lors des vacances passées ensemble dans des logements troqués grâce à mon appartement, que ce soit une semaine à Plougerneau, un mois à Isla Cristina en Espagne, ou plusieurs jours en Picardie ou à Angoulême, soit 5000€ à minima.

Tu as payé des courses alimentaires tous les 10 jours mais quasi toujours à moins de 30€, j’ai tjs payé la grande majorité des courses alimentaires à raison de 80€ par semaine pendant ces 19 mois, soit 6000€ à minima.

Enfin, outre les cadeaux de valeur que je t’ai offerts dont 2 iPhone SE, un manteau pure laine de marque, et de nombreux pull over de qualité, soit 2000€ à minima; tout cet argent que j’avais alors généreusement dépensé par amour pour toi, amour dont tu as tjs largement abusé; tout cet argent doit me revenir maintenant.

Je t’ai également fait un prêt oral de 3500€ pour que tu puisses avoir un apport de 12000€ exigés par ta banque afin que tu puisses à terme rembourser ton crédit immobilier par anticipation sans aucun frais. Tu avais économisé 7000€ en vivant chez ta maîtresse Virginie de janvier à juillet 2019, ta mère t’a donné 1500€ et moi 3500€ : les 12 000€ étaient réunis. Ton merci m’a été dit très rapidement, tu te foutais déjà royalement de moi.

Tu me dois également des dédommagements conséquents financiers pour tous les préjudices et dommages psychologiques que tu m’as fait subir en abusant de mes sentiments pour toi et en menant des relations parallèles, durant notre relation de 19 mois, avec deux femmes qui me détestaient car tu leur disais systémartiquement des choses horribles sur moi à ta sauce et tjs en ta faveur, c’était moi la méchante et toi le pauvre gentil, à savoir Virginie et sans doute aussi Sandy, pseudonyme de Rita; femmes que tu as tjs systématiquement défendues tout en m’insultant copieusement, soit 8000€ à minima et bien plus en réalité d'après des avocats.

Les 11 000€ que tu as dépensés pour la rénovation de mon appartement étaient, selon tes propres mots, un cadeau à tes seuls frais, en échange de mon refus très conscient de ne pas porter plainte contre toi pour violences physiques sur moi constatés sur la place publique à Isla Cristina en Espagne lors du quart ou du huitième match de finale de football entre l'Espagne et un pays du Maghreb en Juin 2018 en début de soirée face à la police espagnole venue de suite me porter secours car ayant été alertée par des témoins de tes actes de violence inacceptable à mon égard.

J’avais alors refusé de porter plainte car je savais que ta carrière professionnelle aurait été brisée net et surtout car je t’aimais profondément, et après réflexion, bcp trop naïvement.

J’ai pourtant dû débourser 4000€ pour financer tout le gros électroménager de ma cuisine + tout le sanitaire et meubles de ma salle de bains, et ce malgré ta promesse initiale de n’avoir rien à financer par moi-même car ne gagnant que 900€ par mois.

Ces frais pour travaux m’avaient mise dans une situation financière très précaire pendant de nombreux mois en 2018 et en 2019 car je ne gagne que 900€ par mois tout en travaillant bcp gratuitement jusqu’à présent, et pour le bien collectif, et pour mon pays, et ce, depuis 2009, activités professionnelles reconnues et estimées par toutes et tous pour leur utilité à la France.

Mon père t’a de plus donné 2500€ pour ces travaux (les deux fenêtres) qui n’avaient coûté de fait que 900€ pose incluse car passant par des artisans chinois : j’ai d’ailleurs tjs leur facture. Tu as du coup entubé mon père de 1600€ mais tu t’en foutais.

La somme globale que tu me dois directement est de fait colossale : environ 30 000€.

Sachant de plus que tu es fonctionnaire de police avec un salaire mensuel moyen de 2800€ et que j’ai des revenus mensuels dits de minima sociaux de 900€, il s’avère légal et légitime que tu me rendes la somme, dérisoire au final, de mes 3500€, et d'autant plus compte-tenu de tes nombreux abus de tous ordres et des violences diverses commises sur ma personne et ce d’autant plus que tu as tjs su que j’ai un handicap dit invisible.

Comment aurait pu tenir aussi longtemps une femme valide dans ces conditions avec toi ?

Très peu de temps.

J’exige officiellement ce jour, le 27 Octobre 2020, après l'avoir déjà exigé le 17 Février 2020 à 11h19 et le 7 Décembre 2019, par ce présent mail que tu me rendes mes 3500€, et au plus tard le 10 Novembre 2020.

Sache aussi que selon l'article 223-15-2 du code pénal, tu es condamnable pénalement.
3500€ ont en effet été indûment prélevés le 7 octobre 2019 par virement de mon compte bancaire à ton profit sur le rappel d’allocation adulte handicapé perçue par moi.

L’abus de faiblesse est sévèrement puni lorsqu’il s’exerce sur une personne en état de sujétion psychologique et victime de pressions propres à altérer son jugement

Telle était la réalité de ma relation avec toi, moi souffrant de troubles psychologiques, et troubles de plus gravement amplifiés car s'étant transformés en d'autres troubles qui m'avaient dépersonnalisée et transformée en une femme "hurlante" que je n'ai jamais été auparavant, et ce, durant toute notre relation car j'avais sans cesse subi de ta part des violences psychologiques, verbales, particulièrement terribles et toxiques, dont l'adultère sans que tu te protèges - ce qui est grave car j'ai peut-être le sida à cause de toi, je n'ai pas encore eu la force de me faire dépister et une simple prise de sang me fait tourner de l'oeil tant je ne supporte aucune douleur ni violence physiques -; et même parfois des violences physiques.

Pour rappel : des témoins ont appelé la police en constatant ta violence physique à mon égard sur la voie publique afin d'être protégée de tes agissements, et cela est arrivé à deux reprises, en Espagne comme déjà dit, et dans le 14eme à Paris aux environs du 51 rue Froidevaux en Août ou Septembre 2018 en début de soirée : une ambulance passant sur la route a pilé net en te voyant m'étrangler à mains nues contre un mur et ils t'ont arraché à moi, tu es parti en rouspétant, je suis restée avec les ambulanciers en pleurs, ils ont énormément insisté pour que je porte plainte contre toi, je refusais.


Une patrouille de ton commissariat en voiture passait à ce moment là, les deux ambulanciers les ont appelé à l'aide, a suivi une discussion calme de deux heures avec le chef qui lui aussi m'a recommandée de porter plainte contre toi, et toujours en pleurs, je te défendais contre eux tous, puis je suis partie devant le regard médusé et infiniment respectueux de cette patrouille de 3 policiers en constatant combien j'étais éprise de toi; en te retrouvant tu ne m'as pas remerciée, tu as craché ta haine contre les ambulanciers noirs en criant au racisme anti-blancs, ton racisme t'aveuglait déjà beaucoup.

Je n'avais jamais voulu porter plainte par volonté de préserver ta carrière; et d'autre part du fait d'une emprise affective de ta part sur moi qui était très importante et particulièrement toxique, me laissant la plupart du temps totalement ko et absolument ni lucide ni moi-même.

Seules mes activités professionnelles digitales me permettaient d'être moi-même et il m'est arrivé plusieurs fois d'écrire des articles la nuit pour être au calme total, toi dormant dans la chambre, enfin je soufflais.

Selon la loi, l’abus de faiblesse se définit juridiquement comme l’exploitation de la vulnérabilité d’une personne afin de la conduire à prendre des engagements dont elle ne peut apprécier la portée .

Pour éviter de te trouver sous le coup de l’accusation d’abus de faiblesse et de fraude sur personne vulnérable, je te demande de me RESTITUER sans attendre mon prêt oral de 3500€.

Sache que si besoin, ce mail peut être envoyé à ta hiérarchie, et au-delà.

Je n'ai pas déposé plainte contre toi mais si tu m'y accules, je n'aurai pas d'autre choix. Évite toi des conséquences désastreuses.

J'ai été abusée, instrumentalisée, violentée, volée, trompée d'une manière sournoise et abjecte par toi pendant toute notre relation, et ce, alors que je t'aimais éperdument, et ce, au point de vouloir mourir en cas de séparation.

Pour rappel : intervention des pompiers et de policiers à mon domicile en urgence dans la nuit du 30 au 31 décembre 2019 vers 3h du matin suite à ta venue chez moi le 30 décembre 2019 entre 18h et 19h où tu avais été odieux avec moi.

Steve, réalise une bonne fois pour toutes le mal que tu m'as causée, et sache que ni l'argent rendu ni les blâmes très lourds que tu recevras ne rachèteront jamais la destruction que tu as tentée de faire sur moi.

Merci de me préciser stp si tu préfères réaliser un virement bancaire ou de faire établir un chèque de banque à mon nom à envoyer en RAR à mon domicile : aucun chèque ordinaire ne sera accepté.

Tu avais accumulé m’as tu confié + de 12 000€ d’économies sur ton livret d’épargne en Août 2020 en y mettant de côté 1000€ chaque mois depuis une année car étant hébergé gratis chez Virginie et car gagnant 2800€ par mois : tu as l’argent, ne mens plus à personne.


Pour faire valoir ce que de droit."



Anne VERRON

Sociologue, Journaliste web, Community manager, Experte RH, Photographe humaniste moderne, Agent de changement éthique, Investigatrice sociétale, Influenceuse

Fondatrice et rédactrice en chef du média 2.0 éthique Accompagner le changement référencé en 1ère position depuis 2010 sauf sur Google depuis fin 2017 (cybercriminalité)

Dirigeante de l'agence digitale de communication éthique Booster de Marque Employeur 2.0




Second Ajout : les 2 liens iCloud publics


Rajout du 08.03.2021 : j'avais observé que le lien principal iCloud public précédemment publié avait été intercepté et était tronqué d'éléments déterminants qui n'apparaissaient pas, l'espionnage continue. Etant encore victime à ce jour de cybercriminalité, j'ai enrichi mes 2 liens iCloud publics sécurisés et totalement anonymes pour qui les consultent de nombreuses nouvelles pièces à convictions et preuves.

J'ai créé 2 liens iCloud publics renommés Preuves Justice - 1 et Preuves Justice - 2 afin que vous puissiez avoir l'intégralité des éléments.

Ces 2 liens iCloud sont incroyablement précieux car ils réunissent + de 3000 éléments sur l'histoire sordide vécue avec ce policier durant 19 mois, il sont de plus accessibles à tout le monde : il vous suffit de cliquer sur les liens ci-dessous et de faire défiler les éléments un par un.

A savoir, le 1er élément visible n'est pas forcément le premier posté chronologiquement.

Les preuves, les pièces à conviction et autres éléments à charge contre ce policier sont accablantes.


Dernière précision : si possible, ouvrez-les sur un ordinateur, ou sinon sur smartphone, mettez toujours en plein écran chaque élément pour pouvoir bien tout lire, et faites les ensuite défiler un par un.


Sachez de plus que votre anonymat est totalement garanti.


Cliquez ici Preuves Justice - 1


Puis ici Preuves Justice - 2




Troisième ajout : le mail à l'Elysée



Le 1er Août 2020, j'ai donc envoyé un mail avec des ajouts après coup non reçus par l'Elysée à l'Elysée en m'adressant à Brigitte Macron. Le voici :

nepasrepondre@ecrire.elysee.fr
sam. 1 août 10:44
Répondre

À moi


Madame, Monsieur,

Nous vous informons de la bonne réception de votre message.
Toutefois, pour que l’envoi à la Présidence de la République soit effectif, vous devez cliquer sur le lien suivant :

https://ecrire.elysee.fr/validation_mail/f078058326344a73c608f6257e58715947ea151abfed22d3816383bb15edc70c

Sans confirmation de votre part, le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures.

Ajout personnel : j'avais bien validé l'envoi de ce message en cliquant sur le lien mais toute ma bureautique étant interceptée, il est possible que ce message n'ait jamais été reçu.

---
L’outil Ecrire au Président
Présidence de la République

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Voici, pour votre information, le contenu du message que vous avez saisi (validation impérative via le lien ci-dessus) :

Votre identité :
Madame
VERRON
Anne

Vos coordonnées :
75000 PARIS
France
Vous êtes un particulier
Votre sujet : Écrire à Madame Brigitte MACRON

Votre message :

"Bonjour Brigitte Macron,

J’ai régulièrement écrit depuis 2017 à votre mari via des InMail sur LinkedIn pour lui prodiguer à mon humble niveau des conseils dont un : celui de beaucoup plus se confier à vous, puis d'autres, tels que de retrouver ses rêves d’adolescent, de se méfier de certaines taupes dans son entourage qui veulent lui nuire et nuire à notre pays, de beaucoup plus « ressentir » la réalité sur le terrain des souffrances quotidiennes de 60% de la population en France qui sont à découvert à leurs banques depuis x années dès le 10 du mois (source : INSEE), et enfin de se reconnecter bien davantage à ses tripes et à son instinct pour servir au mieux les intérêts de tous nos concitoyens et de notre pays.

Je vous écris ce jour concernant mon cas personnel. Je demande rarement de l’aide mais là je n’ai plus le choix.

J’ai été diagnostiquée par le Dc Guy Farjon comme étant une surdouée complexe très évoluée il y a environ deux ans.

A l’âge de 25 ans, suite à plusieurs traumatismes distincts, de diverses natures, et tous très graves, j’ai vécu l’enfer innommable de la douleur psychique à son summum.

Toujours suivie par des psychiatres successifs et à chaque fois différents, à ce jour, ma psychiatre qui me suit depuis 2007 m’a enfin confié oralement il y a un an que je ne rentre dans aucune des grandes pathologies mentales, et un mot valise est alors, m’a-t-elle dit, attribué aux patients comme moi pour pouvoir les définir cliniquement par défaut, faute de mieux : “borderline”, ce que je ne suis pas non plus.

Je prends un traitement médicamenteux très lourd depuis plus de 20 années.

J’ai réussi à me reconstruire grâce à beaucoup d’introspection et de verbalisation à haute voix à mon propre domicile de mes diverses souffrances, traumatismes, maltraitances et trahisons. La résilience, je connais.

En tant que femme, idem, je me suis reconstruite.

J’ai toujours pu compter véritablement que sur moi-même au quotidien, au jour le jour. Depuis toujours.

Je travaille beaucoup chaque jour et je suis très fatiguée frôlant régulièrement des burn-out.

Je donne énormément au collectif et aux gens et je tente de contribuer à non pas (que) constater ou critiquer mais j'essaie toujours de tenter de trouver des pistes de réflexion et des issues qui satisfassent toutes les parties prenantes.

L’éthique est une réalité et mon média "Accompagner le changement" l’incarne.


Accompagner le changement est lu aux 4 coins de la planète et il a été un formidable propulseur ; et je peux vous le dire sans fards ni aucune vanité ou prétention : il me résume complètement.

Allez y faire un tour si vous le voulez :

https://www.photographieshumanistesanneverron.com

On me fait très régulièrement comprendre que j’apporte vraiment beaucoup au collectif or parallèlement des gens ont peur de moi et d’autres veulent me nuire : je me sens démunie.

J’ai été salariée de manière classique pendant 15 années environ : cette posture professionnelle ne me convient pas du tout hélas ! Beaucoup d’arrêts maladie. Je me sens à chaque fois en prison et je craque systématiquement : mes crises sont alors très violentes à vivre intérieurement pour moi et surtout incroyablement douloureuses, voire insurmontables : le travail salarié en entreprise, en milieu ordinaire ou protégé, m'est du coup totalement interdit pour protéger ma santé.

Fin 2009, j’ai alors décidé de créer mon propre emploi qui ne me rapporte à ce jour pour l'instant, en 2020, aucun centime, à savoir mon media Accompagner le changement.

Mon agence digitale de communication éthique intitulée Booster de marque employeur 2.0 que je souhaite lancer en portage salarial bientôt est la seule issue pour générer mes propres revenus.

Par ailleurs, je suis photographe humaniste depuis mes 14 ans et ma galerie sur artquid.com dépasse les 1.300.000 visiteurs uniques. Là aussi, incroyable ! aucun revenu généré.

J’ai besoin d’être enfin efficacement aidée et soutenue : je suis trop dense pour moi toute seule.

Je ne sais si vous pouvez m’aider vous-même, ou si vous pensez plus pertinent de me rediriger vers des professionnels très spécifiques.

Enfin, sachez que je suis sur écoute depuis très longtemps, et non pas que par les services secrets de renseignement français qui ne me dérangent pas car je sais ma conscience citoyenne exemplaire, même si ils ont des taupes en leur sein, mais aussi par ceux de la Chine, des USA et de la Russie.

Tout ce que je fais est intercepté.

Téléphone fixe, téléphone portable, ordinateur, et même m'a-t-on fait comprendre jusque dans mon propre domicile : micros et caméras installés.

La fachosphère me déteste et veut également ma peau car je dénonce très régulièrement et avec une efficacité redoutable tous leurs mensonges et toutes leurs manœuvres.

Enfin, je souhaite que mon ex compagnon, brigadier au commissariat du 14ème à Paris, cesse d’être couvert par sa hiérarchie et que mes 50 mails de main courante soient enfin pris en considération : cet homme est un sociopathe, il a depuis toujours des propos et des idées profondément racistes, profondément antisémites, très homophobes, et incroyablement sexistes : il s'est servi de moi pour servir son idéologie d’extrême-droite.

Outre ses activités d'espionnage à distance sur toute ma bureautique (ordinateur, tel fixe, tel portable) qui ne peuvent être réalisées que sur autorisation d'un juge alors qu'aucun juge ne l'a décidé; activités d'espionnage qui continuent à ce jour; ce policier a violé à maintes reprises le serment républicain qui le lie aux forces de l'ordre. Les sanctions doivent être exemplaires et ma vie protégée.

Ce policier a de multiples complices, hommes comme femmes, dans la police, et ailleurs, et tous sont acquis à l'extrême-droite.

Mon média "Accompagner le changement" dérangeait car ayant dénoncé dans mes colonnes sans diffamation ni injures et avec des sources vérifiées les manoeuvres très diverses et les mensonges multiples de l'extrême-droite française : mes articles ont systématiquement désamorcé la manière au final très grossière dont ce parti politique abusait de la détresse, légitime, de la précarité réelle, et de l'ignorance de son électorat : "ils" voulaient me faire taire, l'idéal étant de me faire passer pour folle, ou de me détruire de l'intérieur, ou en m'isolant.

Il est à noter que ce policier m'a de plus menacée de mort en Août 2020 : se rendant chez moi en me faisant croire qu'il avait des sentiments, il m'a dit "Maintenant, tu arrêtes, car sinon, cela se finira au couteau entre toi et moi." Il avait joint sa menace de mort au geste en prenant un de mes couteaux à manche noir dans un bocal en métal posé dans ma cuisine à côté de mon évier. Son regard était dur. Le ton de sa voix était ferme et déterminé.

C'est inacceptable.

Les violences conjugales simultanément verbales, psychologiques, et à deux reprises physiques, sur la voie publique avec intervention à chaque fois de la police alertée par des témoins qui insistait à chaque fois pour que je porte plainte contre cet homme; ce que je me refusais à faire car combattre le mal par le mal n'est selon moi jamais bénéfique; oui maintenant je suis convaincue que toutes ces violences qu’il m’a faites subir doivent être enfin sanctionnées.

Enfin, merci de faire pression svp sur sa hiérarchie afin qu’il me rembourse un prêt fait oralement de 3500€ qui constitue un délit pénal : cet homme a abusé lucidement de ma conscience très altérée, de ma faiblesse et de mes sentiments amoureux pour lui, il est du coup coupable pénalement selon l’article de loi 223-15-2, ce qui le condamne a maxima à 3 ans d’emprisonnement ferme et à 375 000€ d’amendes.

A ce jour, je ne peux du coup pas partir en vacances et mon frigo est peu rempli : cet homme doit absolument, et comme jadis promis oralement en face de moi, me rembourser mes 3500€; somme prêtée afin qu'il puisse devenir propriétaire de son propre second bien immobilier et plus précisément afin de se constituer un apport de 12 000€ afin de pouvoir bénéficier à terme d'un remboursement anticipé sans frais de son prêt immobilier auprès de sa banque.

Dites moi svp ce que vous pouvez faire pour m’aider.

Par avance, un immense merci à vous.

Bien à vous,

Anne Verron"


Après lecture de ce mail (très) personnel et acte (assez) courageux pour être publié publiquement ici, et qui étonnera et indignera sans nul doute la quasi majorité de mon lectorat tant les injustices et adversités que j'ai dû affronter ont été atroces; je vous invite à lire maintenant le très long mail envoyé récemment à de hautes autorités très compétentes, mail qui indignera et pire qui scandalisera une grande majorité de l'opinion publique face aux actes odieux que j'ai dû subir, le voici :



Quatrième ajout : le mail à de hautes autorités très compétentes


"Bonjour,

Je vous renvoie tous mes mails car je constate que depuis mon iphone ils n'ont pas été envoyés : comme déjà dit, mon ex compagnon et ses divers complices, hommes comme femmes, piratent ma bureautique. Il est temps d'agir et de réagir.

Merci de me répondre svp.

Bien à vous.

Anne
____


Anne VERRON

Sociologue, Journaliste web, Community manager, Experte RH, Photographe humaniste moderne, Agent de changement éthique, Investigatrice sociétale, Influenceuse

Fondatrice et rédactrice en chef du média 2.0 éthique Accompagner le changement référencé en 1ère position depuis 2010 sauf sur Google

Dirigeante de l'agence digitale de communication éthique Booster de Marque Employeur 2.0


---------- Forwarded message ---------
De : Anne VERRON <anneverron@gmail.com>
Date: ven. 26 févr. 2021 à 06:35
Subject: SOS - Urgent : Message envoyé par Messenger à la Police Nationale + éléments essentiels
To: liste de destinataires cachés par souci de discrétion


"Bonjour à toutes et tous,


Vous écrire et dire la vérité longtemps passée sous silence ou pire délibérément ignorée me soulage.

Je sais que je peux compter sur vous toutes et tous et sur l’intégrité et la force de frappe des autorités publiques de mon pays, la France.

Important : Il est impératif que vous preniez contact avec moi par mail officiel certifié et surtout pas par téléphone car les taupes rôdent encore.

Afin que l’IGPN puisse avoir des éléments tangibles et facilement vérifiables pour sanctionner mon ex compagnon, né le 08.05.1975 à Orléans, je vous transfère ci-après un message envoyé par Messenger à la Police Nationale le 21 Février 2019 à 13h24.

Le voici :


« Merci à vous Police Nationale et vos confrères de m'aider svp. Lisez jusqu'au bout et conseillez moi svp, merci !

Mon ex, policier, a commis plusieurs fautes graves sur ma personne :


1. Après une préplainte en ligne durant l'été 2017 pour la perte d'un Iphone et signalement d'actes de cybercriminalité très détaillés dans cette préplainte en ligne, actes que je subis toujours, et depuis septembre 2009, date à laquelle j'ai créé un média éthique web intitulé Accompagner le changement, un brigadier du commissariat de mon quartier, mon futur ex, m'a reçue pendant 2 longues heures : la plainte pour la perte de mon iphone a été prise en 5 minutes, la plainte pour le cyberharcèlement que je subis toujours aujourd'hui a été tourné en dérision par ce brigadier "ne soyez pas paranoïaque" et surtout "cessez d'écrire des articles relatifs à la politique ou à la religion" = traduire par censurez donc votre liberté de penser, votre liberté d'alerter et d'informer, votre liberté d'expression etc. Les 1h55 restantes ont été consacrées à parler politique entre 4 yeux et à mettre en avant le fait que le parti de Marine Le Pen était selon lui le seul parti capable de faire bouger les choses. En sortant de ce commissariat, j'ai ressenti une boule dans mon ventre, une boule de peur, je m'étais alors dit "Si tous les policiers pensent comme lui, notre démocratie va sombrer".


Première faute grave : manquement professionnel lors d'un dépôt de plainte, absence de réactivité à ma plainte portant sur les actes de cybermalveillance subis, agissement verbal très politisé très long, inadmissible, et en dehors du périmètre de ses fonctions professionnelles : abus de pouvoir et intimidation.


2. A la fin de ces 2 longues heures, ce policier me demande de prendre mes empreintes digitales, pas que mes pouces, non mes dix doigts, sur une simple page de papier blanc A4. Intriguée car étant victime et venant en tant que plaignante, je lui demande pourquoi. Il me répond "Ah, c'est comme ça, c'est la nouvelle procédure".


Seconde faute grave : abus de pouvoir inadmissible, tromperie, manipulation.


3. Un mois plus tard, ce policier me téléphone sur mon propre numéro de portable privé qu'il a retrouvé sur mon dépôt de plainte afin de me proposer un rdv galant.


Troisième faute grave : abus de pouvoir, manquement grave à la déontologie et au règlement que se doivent de suivre les forces de l'ordre, conflit d'intérêts en utilisant une donnée confidentielle à ses propres fins strictement personnelles. Cet homme me dira ensuite l'avoir fait avant moi plusieurs fois avec d'autres femmes qui l'attiraient physiquement et avoir eu ainsi à chaque fois des rapports sexuels avec chacune de ces femmes approchées de la même façon.


4. Mes convictions politiques sont profondément démocrates et je combats depuis toujours ce qui leur font obstacles, à savoir les discriminations raciales, sexistes, homophobes, ou de culte. Je les combats non pas simplement en ma seule personne mais pour le bien collectif, pour que mon pays la France reste sur le bon chemin.


Par conséquent, je dénonce régulièrement la manière dont le parti politique de Marine Le Pen instrumentalise de manière sournoise, mais de fait très grossière et simpliste, la détresse d'une partie de l'opinion pauvre économiquement, détresse légitime, mais détresse manipulée par ce parti en faisant croire à ses sympathisants que tous les problèmes qu'ils vivent sont tous créés systématiquement par la présence en France de français d'origine étrangère, d'étrangers, de juifs et de musulmans pacifiques.


Par ailleurs, aucune personne en France ne supporte l'islam radical ou les attentats islamistes, moi y compris : Marine Le Pen n'a donc pas le monopole de l'indignation face à ces faits et actes barbares et abjects.


Pendant un mois, ce policier et moi avons débattu politique. Etant ouverte d'esprit, je crois aux vertus du dialogue. Mais à chaque discussion, cela finissait en dispute amoureuse. Je l'avais donc alerté sur l'importance de ne plus jamais parler politique afin de préserver notre relation. Il m'avait dit "ok".


Puis ne tenant jamais parole, de novembre 2017 jusqu'au 28 décembre 2018, il m'avait parlé chaque jour de ses convictions politiques anti juifs, et pro Le pen, et pro Alain Soral, etc, le 28 décembre 2018 est la date à laquelle je l'ai très brutalement quitté, prise d'un profond instinct de survie mentale, psychologique et physique car étant devenue l'ombre de moi-même avec cet homme.


J'étais alors repliée sur moi, épuisée à tous niveaux, violentée, harcelée, insultée, et même frappée à deux reprises par cet ex policier, sur la voie publique où des témoins voyant la scène, sont soit intervenus et ont interpellé une voiture de police appartenant au même commissariat de quartier que cet ex, soit ils ont directement appelé la police pour que je sois protégée - la première fois ayant eu lieu en Espagne - Isla Cristina - quart ou huitième de match de football entre l’Espagne et un pays du Maghreb - en début de soirée - lieu : à la jointure des deux rues piétonnes pour n’en former qu’une principale a une terrasse de café avec une très grande tv - la témoin qui a alerté la police était en face de ce café sur son balcon et était effarée.


Le 28 décembre 2018, je me sentais vraiment en danger sur le plan mental; et le plus grave est que je suis reconnue officiellement depuis 1995 puis 2005 comme étant une personne en situation de handicap dit "invisible" = psychique; et ce policier le savait fort bien.


Quatrième faute grave : harcèlement moral, violences morales, psychologiques quotidiennes pendant plus de 12 mois, passage à l'acte de violence physique à deux reprises en étant à chaque fois protégée par moi, sa victime, qui ne portait alors jamais plainte contre lui malgré l'insistance des policiers venus me secourir, car j'étais alors très naïvement amoureuse de cet homme.


Cette quatrième faute est aggravée par le fait que cet ex policier, qui est toujours en fonction à ce jour, a agi ainsi sur une personne en situation de handicap psychique, ma personne, et en toute connaissance de cause.


5. Ce policier avait souvent des propos sexistes et racistes. L'un de ses collègues, Christophe, martiniquais, avec qui il discutait souvent, était selon lui "intelligent pour un noir".


Les maghébins étaient selon lui tous des sournois et des fourbes, les français étaient selon lui tous des gens menteurs, délateurs, sans aucun sens critique et qu'il méprisait profondément, les homosexuels étaient selon lui de faux hommes et de grands malades, et les femmes n'étaient pas les égales des hommes mais des êtres inférieurs, il se référait alors ainsi à l'histoire en ne citant que des génies masculins pour argumenter ses propos.


Enfin, il répétait en boucle que les juifs avaient tous les pouvoirs partout et que toutes les crises mondiales de tous temps avaient toujours été créées uniquement par les juifs. Il aurait également écrit jadis et sous pseudonyme un pamphlet contre tous les juifs selon les confidences que m’avait faites bien plus tard par téléphone sa meilleure amie Sandy que je n'ai jamais voulu rencontrer malgré sa propre insistance à vouloir me voir.


Cinquième faute grave : très graves discriminations raciales, sociales, sexistes, homophobes et antisémites.


Merci de me contacter par MP svp & de me guider pour être protégée de cet homme. »


À 13h56, le même jour, je leur écris ceci :


« Je veux être protégée car il semble que mon ex, policier, antisémite, raciste, ultra violent, pro Le Pen, a pu faire un double du double de ma clé et se soit introduit chez moi en mon absence : j'ai retrouvé sur mon parquet et dans mon appartement des objets qui ne m'appartiennent pas ou des indices d'intrusion dans mon propre domicile, qqun s'est donc introduit chez moi et cela ne peut être que lui et sa compagne actuelle.


Cet homme est de plus un as de l'informatique depuis que le premier ordinateur a vu le jour et depuis lui toute ma bureautique est encore plus vérolée. Il est de plus un expert en manipulation et en stratégie, comme il présente très bien et qu'il inspire d'emblée confiance par son apparent calme notamment, il est d'autant plus dangereux.


En fonction dans le 6ème arrdt de Paris, sa hiérarchie l'avait qualifié dans un rapport interne qu'il avait réussi à se procurer en douce "de personne imperiti", il a également eu un blâme très grave qui était monté très haut dans la hiérarchie et où un haut fonctionnaire de la police l'avait totalement couvert.


Mon ex compagnon s'était vanté en rigolant grossièrement face à moi un soir d'avoir roulé la police dans la farine en me confiant comment il avait procédé pour être blanchi : il avait attendu que le commissariat du 6ème arrondissement soit désert, un soir, il avait crocheté la porte fermée à clé du bureau de son chef, il avait forcé son ordinateur en retrouvant son mot de passe, il avait fouillé dans son ordinateur, il avait lu avec soin son dossier, il avait ensuite fait appel à un syndicat interne de la police pour être couvert; une fois blanchi, il avait recontacté par mail ce syndicat interne afin que toutes traces de ce blâme soient totalement effacées.


Ce policier a violé le serment républicain. Et pas qu'une fois. Mon cas en étant une autre illustration.


Enfin, j'ignorais que cela existait avant de connaître cet homme mais il m'a confié détenir trois pouvoirs dits occultes : la télépathie, le magnétisme, et la capacité à hypnotiser. J'ai pu constater à mes dépens jadis qu'en effet il détenait ces pouvoirs, pouvoirs qu'il prétend ensuite ne pas détenir pour mieux couvrir ses agissements. La vigilance se doit donc d'être maximale si audition il y avait. »


La Police Nationale me réponds à 14h44 ceci :


« Bonjour, comment s'appelle ce policier et dans quel commissariat exerce-t-il ? »


Je leur réponds ceci :


« Bonjour, sachez tout d'abord que je crains cet homme car il peut être capable de retourner la situation en ma défaveur et je connais la loi dans ces cas là. Je ne veux prendre aucun risque : pensez vous que les faits relatés sont suffisants ? Pouvez vous me dire svp la suite de la procédure ? Y aura-t-il confrontation entre lui et moi ? Je ne veux plus jamais le voir, l'entendre, l'apercevoir etc car il m'est très nuisible. Merci de me répondre svp en toute transparence. »


Puis à 15h31, je rajoute ceci :


"Sachez que le 28 décembre 2018, je lui ai redemandé pourquoi il avait pris mes 10 empreintes digitales, et là, il a tout nié, il m'a affirmé avec un aplomb sidérant qu'il n'avait jamais fait cela puisque j'étais plaignante et que la loi lui interdisait de faire cela. J'étais sous le choc de voir à quel point il me mentait et réécrivait l'histoire.


Je lui ai redit à haute voix ses propres paroles "Ah! oui c'est comme ça maintenant, ce sont les nouvelles procédures." Il continuait à nier. Je me suis alors souvenue que je lui avais demandé comment partait l'encre sur mes doigts, et il m'avait répondu qu'avec de l'eau et du savon, et en frottant, ça partirait. Je lui ai rappelé ces paroles échangées. Il niait toujours. J'étais tétanisée de voir à quel point cet homme mentait si calmement sans le moindre signe d'inquiétude ou de scrupules. je lui alors demandé de me jurer qu'il disait la vérité sur sa propre tête et la tête de sa mère afin de le pousser à dire la vérité.


Et là, incroyable, il a juré sur sa propre tête et sur celle de sa propre mère, et il m'a dit que j'affabulais, que j'étais folle etc. Pour votre information, sachez qu'il abusait énormément de ce type d'arguments derrière mon dos pour me discréditer mais aussi face à moi tous les jours alors que je suis saine d'esprit et lucide depuis longtemps, il m'a souvent salie, en utilisant sytématiquement ce qu'il m'a dit être la technique de l'accusation inversatoire.


Cet homme est redoutable. Dans son commissariat, son n+1, Olivier, enrageait contre lui, ce policier avait réussi un jour en s'en vantant vulgairement face à moi et avec un mépris absolu pour son chef, l'exploit de complètement renverser la situation en faisant comprendre à son n+1 que c'était lui et non pas son chef qui avait raison : l'incident avait été clos.


Cet homme excelle en psychologie qu'il dit détester, et il maîtrise à la perfection la manipulation d'autrui. d'où ma prudence pour vous révéler son identité. Comprenez vous ? »


Puis : « Recevez-vous mes messages svp ? »


Puis : « Pouvez-vous me répondre ? »


La Police Nationale me réponds alors toujours le même jour à 16h17 :


« Si vous estimez être victime ou témoin d'un comportement susceptible de mettre en cause un policier, ce formulaire vous permet de le signaler :

https://www.police-nationale.interieur.gouv.fr/Organisation/Inspection-Generale-de-la-Police-Nationale/Signalement-IGPN »


Le lendemain, le 22 Février 2019 à 13h18, je leur réponds ceci :


« Bonjour Police nationale, et bonjour Police des polices, vous m'aviez demandé hier comment s'appelait ce policier et dans quel commissariat il travaillait. Sachez tout d'abord, qu'avant de vous communiquer son identité et son lieu de travail, que je crains toujours cet homme car il peut être capable de retourner la situation en ma défaveur et je connais la loi dans ces cas là.


Je ne veux prendre aucun risque : pensez vous que les faits relatés sont suffisants ? Pouvez vous me dire svp la suite de la procédure ? Y aura-t-il confrontation entre lui et moi ? Sachez que je ne veux plus jamais le voir, l'entendre, l'apercevoir etc car il m'a été et m'est très nuisible. Ce policier se nomme Steve (...) et il travaille dans le commissariat du 14ème arrdt de Paris.


Merci de me protéger svp par tous les moyens possibles de cet homme et SURTOUT de ne divulguer en aucun cas mon identité.


Sachez qu'il a piraté l'ordinateur grâce auquel je vous contacte depuis hier et qu'il lit en même temps que vous tout ce qui est écrit. Il est donc prévenu qu'il sera surveillé de près ou de loin par la Police des Polices, et comme il l'a toujours fait dans ces cas là, il va se montrer irréprochable pendant qques temps, ou faire semblant de reconnaître ses torts, et même ruser dune manière infiniment subtile.


Je vous recommande vivement de mettre en fonction un policier de vos services de type profiler ou mentalist afin de démasquer et de désamorcer les agissements de ce policier, agissements cachés de quasi tout le monde.


Sachez que j'agis ici par instinct de survie et par légitime défense.


J'exige que soient retrouvées mes 10 empreintes digitales et qu'elles soient automatiquement détruites : j'exige qu'un courrier officiel de votre part m'en informe, une fois les empreintes retrouvées et leur destruction faite : je ne suis pas qqun à ficher !


Comme le stipule la loi, je demande votre protection.


J'insiste sur le fait que nos messages échangés ici se doivent de rester sous le sceau absolu de la confidentialité et qu'il vous appartient de protéger une femme, une citoyenne, ici moi-même, et la stabilité de l'état démocratique français, et par conséquent d'ouvrir une enquête sur ce policier en toute discrétion.


Merci.


Pour faire valoir ce que de droit.



Anne Verron »

________


Voilà.


Je vous invite à vous rapprocher d’eux pour avoir la totalité des messages échangés.


À noter et je m’en rends compte qu’à l’instant que les mails dits de « main courante » afin de ne pas vouloir (trop) nuire à mon ex compagnon remontent en fait non pas à Décembre 2020 mais à Décembre 2018 : merci de tous les récupérer et de les envoyer svp à l’IGPN.


1. À noter également que ce n’est pas parce que j’ai une vulnérabilité dite psychique liée à un dysfonctionnement de deux neurotransmetteurs dans mon cerveau que je suis folle, ou bien hystérique; bien au contraire, je suis lucide et saine d’esprit, mais le fait d’être handicapée au point de ne plus pouvoir exercer une activité salariée dans une entreprise, en milieu ordinaire ou en milieu protégé dans un ESAT par exemple, constitue une condition très aggravante pour l’auteur des violences conjugales, ici mon ex compagnon, violences qu’il a commises sur moi simultanément psychologiques, verbales, psychiques, physiques et financières à mon encontre.


2. À noter également que mon ex compagnon a tenté à plusieurs reprises et en cachette de tout le monde de me faire stopper mon traitement médicamenteux car il ne croit ni dans les médicaments ni dans la vaccination et ce bien avant le Covid : cela m’avait bcp ébranlée au niveau de ma santé.


3. A noter que la personnalité de cet homme est proche, très proche de celle du pervers narcissique d’où mes 50 mails de main courante où je vous alertais et où simultanément je l’idéalisais : vous les avez tous reçus au commissariat du 14eme, et d’où étant sa proie mes accès de fureur qu’ont par instinct de survie toutes les victimes des pervers narcissiques, visionnez des tutos d’aide aux victimes des pervers narcissiques sur YouTube, ce que je vous dis là est une réaction de défense classique pour les proies : tout ceci est à prendre en compte car cet individu a beaucoup pratiqué avec moi et aussi dans mon dos la technique dite d’accusation inversatoire afin de tout me faire porter et de se montrer irréprochable comme tout pervers narcissique le fait et à dessein : vous êtes bien prévenus.


4. A noter que oui comme bcp de gens j’ai vécu des traumatismes et des souffrances mais que je suis dit-on une personne résiliente et que je n’ai tjs eu de cesse de me bonifier et de croire en l’humanité, et ce, en étant tjs très lucide.


5. A noter que je ne suis pas parfaite du tout mais que mes proches me disent toutes et tous que je suis une personne bonne et (très) courageuse, douce et (beaucoup trop) gentille, altruiste, sociable, très grande bosseuse, et ayant la particularité d’être une TPHI - Très Haut Potentiel Intellectuel - complexe très évoluée, diagnostic établi par le Docteur Guy Farjon en 2019; ce qui rend mon diagnostic clinique réel difficile à établir.


6. A noter également que je travaille bcp depuis Août 2009 sans recevoir de salaire en contrepartie : regardez ma signature électronique en fin de mail qui est peut-être masquée après les ... et vous pourrez facilement vérifier que aucun mot n’est de trop : je fais tout cela. Et ce, sans recevoir un centime en contre partie de toutes mes activités professionnelles. J’œuvre pour le bien commun à mon petit niveau. Point. Et c’est apprécié par bcp bcp bcp de gens. Aux quatre coins de la planète; statistiques Google internes à l’appui.


7. A noter que je suis très fatiguée par tous mes combats et par tous mes efforts depuis si longtemps : j’ai besoin de repos agréable, de réconfort et de moments récréatifs. Comme bcp de gens. Même si mon cas sort de l’ordinaire de par ce que j’ai vécu.


8. À noter également que cet homme a fait son maximum au quotidien pour me laver le cerveau, et ce, en me prenant en otage pour qu’il y ait une adhésion massive aux thèses de l’extrême-droite. Cet homme n’est pas digne de servir notre République démocratique.


9. Je conçois pleinement la pluralité des opinions politiques tant dans mon pays que dans les forces de l’ordre car c’est cela être démocrate; par contre tout le monde s’accorde à dire que forcer à adhérer aux idées d’un parti politique, ici le RN, par tous les moyens possibles et en abusant de sa fonction de policier comme de son réseau professionnel, familial, amical et social, de ses outils et de ses connaissances est un délit très grave pour l’auteur, ici mon ex compagnon qui a abusé de sa fonction de policier à des fins strictement personnelles et idéologiques, et qui a de plus causé sur moi des dégâts terribles. 


10. 
Ce policier a de fait gravement abusé de sa fonction avec moi pour des raisons strictement personnelles et idéologiques. Il a violé le serment républicain. Nous ne sommes pas en dictature. Nous sommes en démocratie. Nous avons toutes et tous le droit d'avoir nos propres orientations politiques. L’opinion publique y tient, vous aussi, moi aussi, tout le monde y tient.

Merci de transférer tous mes mails aux autorités compétentes ainsi qu’à l’IGPN.


Important :


1. J’ai besoin de soins non pas psychiatriques mais bien plus d’ordre de soutien psychologique, et aussi de bienveillances multiples, et de soutiens très majoritaires partout.


2. Je veux retrouver une vie de femme normale sans être exposée, ou être un bouc émissaire, ou un objet de fantasmes, ou une cible à abattre.


3. Ma vie de quartier a été impactée et bien avant le Covid, les commerçants et les habitants, et pas que, croyaient à tort aux accusations et explications de ce policier à mon égard, le commissariat du 14eme se trouvant à 3 minutes à pieds de chez moi : cela doit être expliqué et cela doit cesser : j’aime mon quartier et tous ses gens, j’aime ma ville et j’aime mon pays. J’aime également l’Europe et le reste du monde. Je suis une humaniste éthique.


4. Il est hors de question que ce soit moi, femme violentée et victime, qui entreprenne des démarches judiciaires, quelles qu'elles soient, pour que cet homme soit enfin reconnu coupable, c'est à la Police des Polices de faire son enquête en interne et de faire le ménage dans ses propres rangs : j'exige réparation et protection.

5. Merci à toutes et tous de veiller à tout cela en veillant à garantir ma réelle liberté, et ce, sans aucune souffrance pour moi, de quelques natures qu’elles soient.


Merci.


Très cordialement,
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Anne VERRON

Sociologue, Journaliste web, Community manager, Experte RH, Photographe humaniste moderne, Agent de changement éthique, Investigatrice sociétale, Influenceuse

Fondatrice et rédactrice en chef du média 2.0 éthique Accompagner le changement référencé en 1ère position depuis 2010 sauf sur Google depuis fin 2017 (cybercriminalité)

Dirigeante de l'agence digitale de communication éthique Booster de Marque Employeur 2.0



Cinquième ajout : élèments divers à connaître


Ce policier avec qui j'ai vécu une relation terrible de 19 mois, d'abord de septembre 2017 à décembre 2018, puis de juillet 2019 à novembre 2019; avait sans cesse des propos très antisémites et racistes. 

Selon lui, les juifs et rien que les juifs étaient à l'origine de tous les maux de l'Humanité, et ce, depuis la nuit des temps.


Selon lui, tous les maghrébins étaient des sournois, tous les noirs des violents, tous les homosexuels des malades, tous les féministes des fous ou folles à enfermer, et tous les blancs des moutons stupides.


Lorsque je lui disais qu'il était antisémite, il faisait le sournois et le stratège, et il me répondait alors l'air (faussement) scandalisé que je ne pouvais pas l'accuser d'un mot aussi fortement connoté : comment appeler un chat un chat dans ce cas ?


Il était également toujours très critique sur tout avec moi : je croulais sous les reproches chaque jour. Il me trompait par ailleurs régulièrement, et sans jamais se protéger, il niait toutes ses infidélités en me traitant alors de tous les noms, ses insultes étaient d'une noirceur terrible. J'étais devenue l'ombre de moi-même et j'étais hélas alors totalement sous son emprise.


Voici un extrait d'un mail envoyé à sa hiérarchie début 2020 qui ne m'a répondu qu'une fois :


"Je souhaite être contactée et protégée par la BEFTI - Brigade d'enquêtes sur les fraudes aux technologies de l'information - directement car ayant déjà porté plainte pour actes de cybercriminalité en août 2017 face à ce policier, rencontré pour la première fois dans votre commissariat, vous m’aviez en effet alors confirmé que je n’avais pas à saisir le procureur de la république et que la BEFTI prendrait contact avec moi rapidement. Je me permets de vous informer que les actes de cybercriminalité que je subis sur tous mes équipements sont devenus très graves maintenant : il y a urgence.


Enfin, avez-vous toutes et tous bien écouté mon enregistrement audio de 5 minutes réalisé après mon appel de détresse au 17 dans la nuit du 30 au 31.12.2019 vers 3h du matin, puis ensuite mon appel réalisé à ce policier qui avait décroché et entendu que je voulais mourir et qui était resté silencieux pendant 40 secondes pour au final me raccrocher au nez, ce qui est un acte grave de non assistance à personne en danger de mort; puis après mon 2nd appel tjs à ce policier 30 minutes plus tard vers 3h15 du matin en l’appelant « Jacques Attali » (dont je n'ai pas le portable) pour déstabiliser les 4 pompiers alors chez moi et en lui relatant très précisément ce qui m’arrivait afin qu’il me porte secours : ces 4 pompiers étaient alors en effet debout face à moi et avaient alerté une de vos brigades policières de nuit afin que je sois internée de force dans un service psychiatrique; et ce, sans raison valable, vous avez dû recevoir mon mail très précis et factuel d’il y a qques semaines qui incluait mon enregistrement audio et des précisions écrites très factuelles, à défaut dites-le moi et je vous le renverrai.


Avez-vous bien compris que votre collègue, pourtant de permanence ce week-end là, les 30 et 31 décembre 2019, n’avait rien fait pour moi ?


Aucun coup de fil, aucun déplacement chez moi, aucun texto alors que le 31 au matin il avait bien réceptionné mon long message vocal vers 3h15 du matin le 31 décembre 2019.


Vous savez mieux que moi comment vérifier mes propos en retraçant chez son opérateur Free ses appels reçus dans la nuit du 30 au 31 décembre 2019.


Car vous savez maintenant tout comme moi hélas aussi maintenant combien ce policier ment très bien, et avec bcp d’aplomb, et qu’il est un excellent comédien, donc mieux vaut pour vous tout vérifier avant de le convoquer afin de mieux le contredire et surtout démasquer l’agent corrompu qu’il est.


Pourquoi cet homme ne s’est-il pas soucié une seule seconde de savoir si j’étais internée de force ou bien si j’étais encore vivante ?


Pourquoi cet homme est-il aussi glacial et sans compassion tout en faisant croire à tout le monde, y compris vous toutes et tous, l’inverse?


Enfin, savez vous que ses infidélités permanentes avec son ex, Virginie, policière elle aussi, durant toute ma relation avec ce policier; qu’il avait tjs niées tout en m’insultant très violemment à chaque fois que je notais quelque chose d’étrange, ont au final payé : ils sont depuis officiellement en couple et il vit maintenant tranquillement chez elle dans le 13ème arrondissement de Paris, et ce, alors que j’avais fait mon Max pour qu’il ait enfin son propre second bien immobilier en tant que propriétaire d'un grand appartement de 53 m2 avec un jardin de 20 m2 à Meaux ?


Cette situation confirme à elle seule que toutes mes mains courantes par mail sont crédibles.


Savez vous aussi qu’il est expert en informatique et que je l’ai surpris une fois en train d’installer un logiciel sur mon ordinateur portable, ce qui l’avait rendu furieux et qu'il m’avait alors de nouveau violemment insultée. Mon ordinateur marchait bien. J’ai vu un écran noir et j’ai vu cet homme rentrer des codes sur cet écran, alors ont défilé quantité de codes en blanc. Il avait sans doute installé un logiciel espion pour mieux me surveiller.


1. Pourquoi me surveiller ? Alors qu'il me savait très fidèle ?

2. Agit-il seul ou avec des complices ?

3. Ce réseau policier interne semble proche du parti politique de Marine Le Pen, ou pire, être téléguidé par lui.

4. Ce réseau est-il important ou non ?

5. Ce réseau est-il formel ou informel ?


Vous devriez mener une enquête en interne très discrète.


Sachez enfin qu’en mars 2019, ce policier m’avait dit « En fait, tu fais ta naïve, mais au final tu n’as jamais été dupe de rien. »


Qu’en déduire ?


Qu’en conclure ?


Cet homme semble non seulement avoir instrumentalisé mon amour pour lui mais aussi avoir agi en catimini de son corps d’état, la Police, pour mieux servir sa cause idéologique d’extrême-droite.


Regardez quelques articles de mon média « Accompagner le changement » lu à l’international autant par les peuples, les dirigeants, les lobbies et les États, et vous comprendrez que j’ai été depuis le début pour ce policier et ses complices qu’une « proie » ou une « cible » de choix : cet homme avait pour mission de me détruire et de me faire stopper mes activités professionnelles démocrates, éthiques et pacifistes. Cet homme m'avait d'ailleurs dit "être en immersion avec moi", sic !


Une question que tout le monde se pose : est-ce un crime de ne pas être d'extrême-droite en France ? Pour ce policier, oui.


Je reviens de très loin.


J’avais cru aimer un homme qui m’avait aimée : tout est faux. Ça a failli marcher. C’est très grave ce qu’il a fait.


Des sanctions très lourdes, et exemplaires afin de dissuader les autres policiers radicaux, doivent être maintenant posées contre cet homme, voire une révocation de la police avec un fichage chargé pour l’empêcher à terme de nuire à nouveau à notre pays et au collectif.


Sachez que mes écrits sont cohérents et structurés, mais qu’au fond de moi, je suis ébranlée.

Cet homme, antisémite, raciste, pervers narcissique ou manipulateur, a été si loin dans les violences de tous ordres exercées délibérément sur moi qu'il a même failli me pousser au suicide et voire à l’internement psychiatrique dans la nuit du 30 au 31 décembre 2019.


Après l'avoir quitté définitivement le 28 novembre 2019, j’avais revu ce policier le 30 décembre 2019 de 18h à 19h, j’étais pleine d’espoir, puis tout s’était écroulé, et je l’avais enfin démasqué pour ce qu’il est : un pervers narcissique, et je lui avais dit tel quel : assis à côté de moi sur mon canapé, il s’était alors levé très brusquement comme un ressort et il s’était enfui tant être démasqué lui était insupportable.


J’avais alors appelé le 17 vers 19h en larmes en donnant mon identité, mes coordonnées postales et téléphoniques : les policiers avaient alors été adorables et très compétents.


Une brigade m’avait aussitôt rappelée et une policière m’avait dit que cet homme était un pervers narcissique et que ce n’était pas parce qu’il était policier qu’il était au dessus de la loi, elle m’avait vivement conseillé de déposer une main courante le 31 décembre 2019 au matin.


Quelques heures plus tard à 3 heures du matin, j’avais rappelé le 17 en disant que je n’avais plus trop envie de vivre mais que je refusais d’aller dans un hôpital, je voulais juste parler à quelqu'un.


4 pompiers sont venus, sans un sourire, ils m’ont forcée cette nuit là, avec 3 policiers qui m’ont menottée, et très violemment, à être internée à Cochin pour être vue par un psychiatre le lendemain, j’avais été durant tout le temps passé avec eux 7 pourtant très calme.


Rien à faire.


Ils m’ont forcée à les suivre en pyjama et pantoufles, en pleine nuit, en plein hiver, et en refusant explicitement que je prenne mon sac à mains, ou même ma carte vitale ou ma CB ou mon Pass Navigo ou de l’argent, j’ai été menottée comme une criminelle.


Les 3 policiers du même commissariat que mon ex ont même subtilisé mon iPhone pour effacer l’enregistrement audio que j’avais fait durant la présence de ces 7 agents car c’était une preuve embarrassante de leurs attitudes abusives : ils n’y sont pas arrivés et j’ai toujours cet enregistrement de + de 11 minutes.


Le numéro 2 des pompiers m’avait menacée avant l’arrivée des 3 policiers en me disant :


« Vous n’êtes pas prête de le revoir votre chien, croyez-moi ! »


Il insinuait explicitement un internement psychiatrique long et sans mon consentement.


Lui et son chef m’ont même étonnamment demandé à 2 ou 3 reprises quelles étaient mes origines ethniques. Sic ! En quoi cela était-il utile ? Il y a eu racisme et violence.


Et ils ont agi sur consignes : et peut-être consignes du rassemblement national, ou bien consignes de mon ex que j’avais appelé juste après le 17 vers 3h du matin et où il m’avait alors encore plus déstabilisée (délibérément) en restant silencieux durant plus de 40 secondes et en raccrochant d’un coup sans me dire un seul mot.


A noter, et ce qui peu su par l'opinion publique, que les sapeurs pompiers parisiens appartiennent à l'une des directions de la préfecture de police de Paris, il est donc probable qu'il y ait eu des interférences ce soir là, cette nuit là, pour me nuire voire me détruire définitivement.


Cet ex voulait absolument me faire craquer et me détruire complètement.


Cet homme est un monstre.


Arrivée à Cochin, j’avais failli « péter un câble » durant ces 5 longues heures d’attente dans la nuit car il n’y avait aucun psychiatre de garde, aucun lit, des néons très puissants, en étant surveillée en permanence sans pouvoir bouger par des caméras dans le hall des urgences psychiatriques.


Comment ai-je pu garder mon sang-froid sachant que le psychiatre au matin pouvait décider, et sans mon consentement, de m’interner ?


Comment ai-je pu trouver la force cette nuit là de ne pas sombrer ?


Je ne sais pas.


Instinct de survie.


Instinct de vie.


A 8 heures du matin, un interne me libère."

________


Encore aujourd'hui, je suis très choquée.


Par tout.


Mon médecin a d'ailleurs établi un certificat médical officiel qui atteste combien mon état de santé s'était dégradé avec cet homme tant ses violences quotidiennes de diverses natures étaient insupportables durant nos 19 mois de vie en couple.


Selon l'article de loi du 30 Juillet 2020 adopté après le Grenelle des violences conjugales tenu à Paris en Novembre 2019, cet homme est coupable et condamnable à de lourdes sanctions et amendes, et comme le stipule cette loi, les femmes violentées sont systématiquement mises à l'abri et ne sont plus jamais, et en aucun cas, confrontées à leurs ex prédateurs, que ce soit dans un tribunal ou dans le bureau d'un magistrat, et ce, afin d'éviter que leurs ex prédateurs biaisent le verdict judiciaire final, et ce, afin d'empêcher aussi et surtout de manière irrévocable et définitive une double peine aux femmes violentées; les femmes victimes de violences conjugales étant souvent très affaiblies pour savoir et pouvoir se défendre, certaines étant même parfois détruites à vie : ne jamais se fier aux apparences.


Voici l'article de loi : 

https://www.vie-publique.fr/loi/273137-loi-du-30-juillet-2020-proteger-les-victimes-de-violences-conjugales


Cet article ne ressemble à aucun des autres que je publie ici depuis 2009. J'ai conscience qu'il est intime comme j'ai conscience qu'il est de mon devoir de sociologue et en tant qu'agent de changement et d'influence éthiques d'alerter et les pouvoirs en place, et l'opinion publique. Il n'y a dans ma démarche aucune exhibition et j'aurais largement préféré ne pas être acculée à publier publiquement des données aussi intimes.


Mon commissariat de quartier à Paris ne m'en a pas laissé le choix.


La police nationale peut parfois se révéler violente et raciste et peut alors constituer un danger réel tant pour la foule que pour la stabilité de notre démocratie.


J'en profite d'ailleurs pour saluer non pas que les 45% comme dit précédemment mais les 70% de policières et de policiers qui en France font, à l'inverse, leur travail avec un grand souci d'éthique, un sens civique admirable et beaucoup de compétences professionnelles : en un sens, en brisant ici l'omerta d'une partie de la police, je souhaite les remercier très sincèrement, leur rendre hommage, et encourager les pouvoirs à ce qu'ils deviennent largement majoritaires à être ainsi dans les forces de l'ordre.



Il va sans dire qu'avec un tel article, j'invite vivement l'Etat, toutes les forces de l'ordre et les services de renseignement à me protéger très activement, et ce, a vitam eternam.


Je demande également officiellement à l'IGPN de me contacter avec toutes les précautions d'usage en vigueur; mon ex et ses complices lisant également cet article.



Enfin, je remercie toutes celles et tous ceux qui m'ont donné le courage de témoigner afin que notre pays reste une démocratie digne de ce nom, citoyenne, responsable, fraternelle et éthique, et ce, dès aujourd'hui, puis en 2022, et ensuite indéfiniment lors de chaque élection.




Liberté, égalité, fraternité est notre devise laïque enviée partout dans le monde entier.


Ne la bradons plus jamais.


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