Lever la tête en l'air - Parc floral de Vincennes - Août 2014
En ces temps moroses où beaucoup trop n'osent plus croire en l'humain ou n'ont plus confiance en rien, j'ai éprouvé le besoin et l'envie sincères de vous transmettre un message pour tenter à mon modeste niveau un (r)-éveil. Au travers d'une vidéo et d'une chronique.
Outre mes casquettes reconnues d'experte RH, journaliste et sociologue 2.0 et community manager, je suis peut-être et avant tout artiste photographe humaniste. Mes photographies noir et blanc sont guidées par une approche humaniste non chimérique mais ajustée au réel donc réaliste.
Ce n’est pas ici par volonté farouche de faire preuve d’optimisme aveuglé ou aveuglant mais au contraire par volonté profonde d’asseoir ma vision humaniste consciemment étayée par de nombreux autres experts, souvent éminents, ou non, de tous genres, et dans tous les domaines étudiant les systèmes socio économiques impactant par la même la vie en société.
Je tente ici de donner à voir le verre non pas à moitié vide mais à moitié plein. Quand les situations sont crispées, on trouve alors d’autant plus “solutionnant” l’apport efficace d’un tel regard qui, toujours ou presque, s’est vu légitimé car puissamment efficient.
Parti pris, ici ? Oui. Et non.
L’expérience, et la mienne n’est pas isolée loin de là, a démontré combien les plus grands sportifs, pour ne citer qu’eux, relèvent leurs défis avec brio quand ils sont dans une telle attitude constructive. ”Le mental fait la différence”. Oui, c’est vrai. Mais pas que.
On a toutes et tous besoin d’entraide, de solidarité, de réconfort, d’amour pour avancer et faire que ce mental fasse la différence. Se panser pour se penser? Oui. Il semble indispensable de se panser soi pour pouvoir ensuite se penser et simultanément; de savoir, de pouvoir et d’oser panser les autres pour bien les penser. La bienveillance pragmatique fait son come back.
Pour conclure, un constat me vient, à méditer si nous souhaitons avancer: le sens est pluriel au gré des individus et des enjeux organisationnels. Sachons trouver celui qui les réunit afin de pouvoir agir efficacement grâce à ce levier d’action optimal.
L’humanisme est une piste. Peut-être bien la seule car nous sommes tous des êtres humains. Et si on se pansait pour se penser mieux ?
Parti pris, ici ? Oui. Et non.
L’expérience, et la mienne n’est pas isolée loin de là, a démontré combien les plus grands sportifs, pour ne citer qu’eux, relèvent leurs défis avec brio quand ils sont dans une telle attitude constructive. ”Le mental fait la différence”. Oui, c’est vrai. Mais pas que.
On a toutes et tous besoin d’entraide, de solidarité, de réconfort, d’amour pour avancer et faire que ce mental fasse la différence. Se panser pour se penser? Oui. Il semble indispensable de se panser soi pour pouvoir ensuite se penser et simultanément; de savoir, de pouvoir et d’oser panser les autres pour bien les penser. La bienveillance pragmatique fait son come back.
Pour conclure, un constat me vient, à méditer si nous souhaitons avancer: le sens est pluriel au gré des individus et des enjeux organisationnels. Sachons trouver celui qui les réunit afin de pouvoir agir efficacement grâce à ce levier d’action optimal.
L’humanisme est une piste. Peut-être bien la seule car nous sommes tous des êtres humains. Et si on se pansait pour se penser mieux ?
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